Le communiqué de presse de notre Lancement 🚀

Better Things : le Yuka du « made in » débarque sur Google Play le 19 mai pour redonner le pouvoir aux consommateurs

Dans un contexte de guerre commerciale entre la Chine et les États-Unis, l’Europe pourrait bientĂ´t ĂŞtre submergĂ©e par une vague de produits Ă  bas coĂ»ts, fragilisant encore davantage son industrie locale (source). Cette crise incite aussi les marques Ă  repenser la localisation de leur fabrication (ex. : L’OrĂ©al envisage notamment de relocaliser une partie de sa production – source). Les Français sont bien conscients de ces enjeux : près de 8 sur 10 Ă  considèrent que l’origine gĂ©ographique d’un produit est primordiale et 82% privilĂ©gient une fabrication locale (source). Mais en pratique, ce n’est pas si simple. Tout est fait pour que les achats « made in très loin » soient simples, sĂ©duisants… et opaques.

Pour donner le pouvoir aux consommateurs, sans les culpabiliser, Better Things arrive à point nommé avec une approche simple et puissante : “Time to Influence the Brands”.

Sa promesse : transformer chaque scan de produit (non alimentaire) en acte d’influence sur les marques. L’application française les aide Ă  comprendre d’oĂą viennent les produits achetĂ©s, dans quelles conditions ils sont conçus, et Ă  rendre leur avis audible auprès des marques.

Better Things sera disponible sur le Google Play Store Ă  partir du 19 mai.

Empowerment : le changement autour du « made in » est enfin à portée de clic

Une rĂ©glementation qui Ă©volue très lentement, un lobbying qui freine les avancĂ©es… Un constat s’impose : alors que le rĂ©chauffement climatique s’aggrave Ă  un rythme record (source), il n’est plus possible d’attendre que les solutions viennent d’en haut.
Conscients de ces enjeux, les acteurs de la société privée se mobilisent pour changer la donne.
Ă€ l’image de Better Things : lancĂ©e après deux ans de rĂ©flexion, de co-construction et de bĂŞta-tests, cette application permet aux Français d’avoir un outil accessible directement dans leur poche.
En s’appuyant sur un score indĂ©pendant, fondĂ© uniquement sur des donnĂ©es publiques, ils peuvent enfin faire entendre leurs attentes.

Les (grands) petits plus

La transparence sur les critères Ă©cologiques et sociaux. Ex. : pollution de l’air et de l’eau, prĂ©servation de l’Ă©cosystème, traitement des dĂ©chets, trajectoire du pays pour lutter contre le rĂ©chauffement climatique, droits et protection du travail, revenus des travailleurs, risque de travail d’enfants…
🟢Un outil d’action collective, qui va bien au-delĂ  de la simple collecte d’information.
🟢Une IA qui centralise les feedbacks, en les anonymisant, afin de peser face aux marques.
🟢Une boussole éthique qui ne juge personne, mais qui éclaire les consommateurs.

Comment ça marche ?

Grâce Ă  l’application mobile gratuite Better Things, il suffit de scanner un produit non-alimentaire pour :
1. Identifier son pays d’origine.
2. DĂ©couvrir son Better Score : un indicateur Ă©cologique et social basĂ© sur des donnĂ©es publiques fiables telles que l’EPI (Environmental Performance index), la CSI (ConfĂ©dĂ©ration Syndicale Internationale), l’Unicef ou la Banque Mondiale.
3. Interpeller anonymement la marque sur l’origine du produit.
4. Suggérer des alternatives plus responsables.
5. Faire partie d’un mouvement collectif de transparence.

Une appli « aussitôt testée, aussitôt adoptée » : de premiers résultats encourageants

En juin 2023, une phase de test a Ă©tĂ© menĂ©e auprès de 300 personnes pour valider l’intĂ©rĂŞt du projet. Avec succès : 74% des testeurs ont dĂ©clarĂ© que l’application pourrait les amener Ă  changer leurs comportements d’achats.
Ce retour positif a été confirmé par l’adhésion des Bêta-Testeurs et la sélection du projet en Incubation par Skema Entrepreneurs.

« L’appli m’a poussĂ© Ă  me poser des questions sur mes habitudes de consommation. J’ai beaucoup apprĂ©ciĂ© le fait de pouvoir contacter rapidement les marques. On peut faire bouger les choses en quelques secondes. »
Lauréline, Bêta-Testeuse, 26 ans, Paris

De belles perspectives de développement

La fonctionnalitĂ© d’interpellation des marques est tellement apprĂ©ciĂ©e des « change makers » qu’elle a Ă©tĂ© rĂ©cemment ajoutĂ©e dans Yuka, une rĂ©fĂ©rence des applications Ă  impact : ses 46 millions d’utilisateurs peuvent ainsi lutter contre la prĂ©sence d’additifs alimentaires.
PortĂ©e par cet engouement, Better Things projette dĂ©jĂ  de se lancer sur iTunes, de crĂ©er un système de badges et de rĂ©fĂ©rencer des marques locales. En parallèle, elle ambitionne de se dĂ©ployer Ă  l’international.

A propos de la Dream Team

Le projet Better Things est porté par Stéphane Devulder, résidant en Haute-Savoie.
Cet entrepreneur engagé, qui a notamment fondé la Fabuleuse French Fabrique, est soutenu dans cette aventure par Frédéric Bossard, directeur scientifique à SKEMA Business School.
Pour lancer et dĂ©velopper l’application, ils se sont entourĂ©s d’un Ă©cosystème de talents entre Annecy, Lyon et Sophia Antipolis : dĂ©veloppeurs, designers, Ă©tudiants, experts en data et partenaires de l’économie responsable.

En savoir plus
Site web : https://betterthings.app/
Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=61557974464402
Instagram : https://www.instagram.com/betterthings_app/
LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/better-things-l-application/


Contact Presse
Stephane DEVULDER
Email : sdevulder@littlebigbleu.com

Retour en haut